Témoignage de Madame Eglantine Fournier,
fille d'Eugène Guibert.

 

"Quand mon père est revenu de la guerre il avait l’interdiction de travailler ou de faire de violents efforts parcequ'il avait été fortement gazé.
En juin 1919 son voisin était entrain d’emmener un cheval au champs, il arrivait pas à s’en aider, mon père lui dit de le laisser qu’il allait s’en arranger mais le cheval s’emballa et mon père couru pour le rattraper cela lui fut mortel car en trois jour son corps devint tout noir et il mourut empoisonné par les gaz."

 

Eugène Guibert, beau-frère des trois frères Favrou du Boucheau morts à la guerre.